Les bons sentiments

La couverture interroge et intrigue et donne envie de savoir ce qui se cache à l’intérieur du roman. Elle a un aspect de « polar ».
Julien, jeune homme de 28 ans travaillant dans une ONG, l’Association, prend en otage trois de ses collègues de l’association.
L’enquêtrice va entrer en relation avec lui afin de connaître ces motivations de cette prise d’otage et cela va amener Julien à se livrer sur ce qu’il ressent et va mettre un mot sur sa dépression et les petites rancœurs jusque-là profonds et que personne n’a pu détecter Julien était considéré par ces collègues comme étant une bonne personne toujours serviable à rendre service mais finalement certaines choses font souffrir cet homme.
L’auteure aborde des thèmes forts comme le burn-out, la précarité sociale, la condition des travailleurs sociaux, et le désarroi des familles fragilisées.
L’intrigue de la prise d’otages m’a tenue en haleine car j’aime les lectures « polar ou policières » et j’espérais effectivement que l’issue se termine bien pour les personnages mais je n’ai pas été embarquée sur les autres thèmes du roman car j’ai trouvé cela un peu long dans le récit et je n’ai pas l’habitude de lire ce genre de livres avec des thèmes si importants mais c’est quand même intéressant de découvrir d’autres lectures. Roman lu dans le cadre de la sélection du 1er roman pour le festival 2026 à Laval. 22 Avril 2025